Dimanche 15 mars - 11h00                

Hautes-Terres

de Marie-Pierre Brêtas – France – 15 octobre 2014

V.O.S.T. – 1h27

Rediffusion le mardi 17 mars à 20h00

Dans le Nordeste du Brésil, Vanilda, son mari Antonio, et une vingtaine d’autres familles de paysans obtiennent une propriété après avoir passé quatre années à lutter avec le soutien du syndicat des sans-terre. Sur une terre sauvage, ils vont fonder une communauté, humbles et braves, avec la seule force de leurs bras et de leurs espoirs... Mais sur ce territoire hanté par la sécheresse, la gestion collective des terres et de leurs maigres ressources s'avère être une aventure plus difficile encore que leur conquête. Le film va s'arrimer à ce mouvement.

Débat en présence de Marie-Pierre Brêtas, réalisatrice, le dimanche 15 mars.

Buffet (participation de 3 €)

Dimanche 15 mars - 14h00

Heritage Fight

de Eugénie Dumont – France/Australie – 8 octobre 2014

avec Joseph Roe, Teresa Roe, Louise Middelton, …

V.O.S.T. – 1h30

Au cœur de la dernière contrée sauvage d’Australie, une communauté aborigène, les Goolarabooloo, doit faire face au projet d’implantation de la plus grande usine à gaz au monde soutenu par le gouvernement.

Aborigènes et citoyens solidaires décident alors de s'unir pour défendre ce qui n’a pas de prix : une terre, une vision du monde et, plus que tout, un héritage culturel. Commence alors un combat à l’issue inattendue…

« Solidaire de ceux qu'elle filme, la réalisatrice s'intéresse aussi au mystère de leur culture et prend le temps de l'observation et du dialogue. » (Le Monde)

Débat en présence d’Eugénie Dumont, réalisatrice.

Dimanche 15 mars - 16h30

Territoire de la liberté

d’Alexander Kuznetsov – France/Russie – 31 décembre 2014

Documentaire

V.O.S.T. – 1h17

Sibérie, près de Krasnoïarsk. Des amateurs d’escalade se retrouvent régulièrement au sein d’une réserve naturelle au cœur de la Taïga. Dans cette nature hostile, cette jolie bande chante et fait la fête, retrouvant le goût de la liberté, mais s’attaque aussi à des rochers escarpés, symboles, pour le réalisateur, du régime totalitaire qui règne en Russie.

« Ce documentaire revigorant dévoile progressivement son statut de manifeste anti-Poutine en défendant coûte que coûte l’idée de résistance et de partage. » (Damien Leblanc - Première)